La lumière vient toujours habiller la forêt, quel que soit le lieu où l’époque de l’année. L’arbre bien que dépouillé se trouve magnifié par la neige qui ne fait qu’accentuer son relief en entament un ballet d’ombres et de lumières.

Au début des années 2000, Hans Silvester a dédié un ouvrage aux arbres. Il faut dire qu’enfant de la Forêt Noire, les arbres ont marqué sa jeunesse. Ils ont accompagné ses balades, ses amitiés, ses campements, sa solitude aussi.  Témoin attristé de la folie des Hommes, Hans Silvester manifeste son engagement pour la défense de la nature. Au-delà des forêts, ce sont les arbres individuels qui le saisissent : ce sont des sculptures vivantes qui rythment la beauté des lieux.

Retour De Voyage a sélectionné cette photo, car même post mortem, l’arbre reste créateur de paysage.